Loire Maraîchage : « La main-d’œuvre a toujours été rare, mais là c’est catastrophique

, Loire Maraîchage : « La main-d’œuvre a toujours été rare, mais là c’est catastrophique

Le maraîchage était une évidence pour vous ?

« Non, au départ mon mari voulait s’installer en élevage et grandes cultures. Le maraîchage, c’était pour mettre du beurre dans les épinards. Aujourd’hui notre chiffre d’affaires provient à 30 % de l’élevage et 70 % du maraîchage, hors prime bien sûr, le maraîchage n’a pas droit aux primes ».

Quelle surface exploitez-vous ?

« 5 hectares pour du maraîchage diversifié, dont 3 000 m² en tunnel, le reste en plein champ. On pourrait développer les tunnels, voire implanter une serre chapelle, mais par manque de main-d’œuvre on reste sur le plein champ, où la mécanisation est plus utilisée. La main-d’œuvre a toujours été une denrée rare, mais depuis le Covid c’est catastrophique. Le maraîchage bio a beaucoup de vertus, sauf celles d’être sympathique et cool. C’est beaucoup de manutention, un rythme soutenu et par tous les temps, et puis surtout il faut des compétences, de l’expérience ».

« La formation ne suffit pas,…

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